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Maire du 7e arrondissement de Paris
Elle annonce, le 7 novembre 2007, qu'elle mènera la liste UMP Nouveau Centre aux élections municipales de 2008 dans le 7e arrondissement de Paris.
L'UMP avait d'abord envisagé un parachutage dans le 12e arrondissement, mais les dirigeants du parti présidentiel ont préféré envoyer
Rachida Dati dans un arrondissement plus ancré à droite
Christian Leroux, premier adjoint sortant, avait envisagé de mener une liste dissidente avant d'être incité à se retirer96.
Le 9 mars 2008, la liste qu'elle conduit obtient 49,5 % des suffrages contre 22,71 % à la liste socialiste et 15,69 % à celle du MoDem. Dans cet arrondissement qui a largement voté
pour Nicolas Sarkozy au deuxième tour de l'élection présidentielle la liste qu'elle dirige obtient 57,69 % des voix au soir du second tour
Elle est alors l'une des cinq élus UMP/NC de l'arrondissement à être élue au conseil de Paris.
Le 29 mars 2008, le conseil d'arrondissement l'élit au poste de maire du 7e arrondissement99.
En tant que maire du 7e arrondissement, Rachida Dati se mobilise contre le Mur pour la paix, un monument de verre installé depuis 2000 devant l’École militaire.
Elle demande le démantèlement de l’œuvre dont la construction est selon elle illégale100 et lance une pétition en ligne
affirmant que « cette construction provoque l'exaspération des habitants du VIIe arrondissement (...) car elle obstrue la perspective classée de l'Ecole militaire à la Tour Eiffel »
et qu’elle « bafoue les lois de la République ». L'auteur du monument Clara Halter et son époux Marek Halter engagent une action en justice contre Rachida Dati,
réclamant 20 000 euros de dommages et intérêts pour diffamation
Le 22 novembre 2011, le tribunal correctionnel de Paris la condamne pour diffamation à une amende de 2 000 € avec sursis,
pour avoir suggéré que les époux Halter profitaient financièrement des frais d'entretien du Mur pour la Paix